]. Le premier avion de la SAS est livré le 13 avril à Stockholm. En attendant la mise en service, les deux compagnies effectuent des vols de promotion. ]. Le 26 avril, la compagnie scandinave effectue une tournée dans plusieurs pays d’Europe qu’elle qualifie de « service inaugural ». Une tournée semblable a lieu avec Air France ce jour-là. En conséquence des dégâts subis par la F-BHRA à la suite d’une sortie de piste le 29 avril à Orly, Air France repousse la mise en service au lendemain de la date prévue. Le 6 mai, le tout premier vol commercial décolle d’Orly, pour faire escale à Rome, puis à Athènes, avant de se poser à Istanbul. La SAS met la Caravelle en service le 15 mai, avec un vol enre Stockholm, Prague, Budapest, Instanbul, Damas et Le Caire. Après les commandes d’Air France et de SAS, seules des compagnies européennes avaient commandé la Caravelle. ]. En mai 1959, lors de la mise en service avec Air France et SAS, les commandes s’élèvent à 49 appareils, plus 18 options. Depuis Lille vous pouvez choisir des vols dernière minute vers Nice ou Marseille pour leurs belles plages. L’aéroport de Lille dessert également Toulouse, Bordeaux et Lyon, destinations idéales pour la bonne cuisine et la fête ! Air France : C’est l’opérateur historique national et la première compagnie aérienne présente en France en termes de trafic. Depuis 2004, Air France est associée à la compagnie néerlandaise KLM au sein du groupe Air-France – KLM, 2ème transporteur européen. La plate-forme de correspondance principale d’Air France est l’aéroport de Paris – Charles-de-Gaulle. La compagnie propose plus de 190 destinations nationales et internationales. Jet : La compagnie Low Cost britannique est un transporteur de premier plan en Europe et le 2ème plus important en France. Présente dans les principaux aéroports français, easyJet propose plus de 130 destinations à travers l’Europe, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Depuis la France, la compagnie est également présente sur des vols nationaux tels que Paris – Toulouse, Nantes – Lyon ou encore Nantes – Nice.

Dans les années 1990, aussi bien les compagnies aériennes que les fabricants d’avions régionaux délaissent les turbopropulseurs et privilégient les modèles à turboréacteurs, plus rapides ; c’est l’âge d’or d’Embraer et des jets de Bombardier. Progressivement, Fokker en 1996, Saab en 1998 et Fairchild-Dornier en 2002 cessent leur activité d’avions de transport régional. Bombardier délaisse son activité turbopropulseurs et ATR frôle le dépôt de bilan : en 2003 ATR n’enregistre que dix commandes et ne livre que neufs avions. Mais les jets sont également beaucoup plus gourmands en kérosène que les turbopropulseurs. ], puis reste à des niveaux élevés. Les turbopropulseurs jugés jusqu’alors peu performants redeviennent très intéressants pour les compagnies aériennes. Aujourd’hui, la concurrence de la Chine se précise. La holding aéronautique d’État russe OAK propose le jet SuperJet 100 (SSJ-100) via sa filiale Sukhoï et la société Sukhoï Civil Aircraft Company (SCAC) et les bureaux d’études Iliouchine et Yakovlev. NPO Saturn a créé une joint-venture avec le français SNECMA, Powerjet, pour produire les réacteurs SaM-146 affectés au SSJ-100. NPO Saturn est déjà le motoriste de tous les chasseurs de Sukhoï. Quelques semaines seulement après la mission Chesapeake 2018 – qui a vu le groupe aérien embarqué (GAé) du Charles de Gaulle s’entraîner pendant sept semaines aux États-Unis à terre et à bord du porte-avions USS Georges H.W. Bush – des Rafale Marine retrouvent le pont d’un porte-avions américain. Mardi, une délégation de militaires français s’est rendue sur l’USS Harry S. Truman (CVN 75), au large de Brest. Était également présente l’ambassadrice américaine en France, Jamie D. McCourt, qui a pu observer de près des manœuvres franco-américaines avec notamment des touch and go de Rafale Marine. Le porte-avions est en effet en mission d’entraînement avec les forces françaises. Un exercice appelé French Air Defense Week qui se tient du 2 au 6 juillet, dont le but est d’accroître l’interopérabilité et la préparation des unités participantes. Des Rafale ont volé avec des F/A-18 E/G Super Hornet et des avions de guet aérien E-2D Hawkeye, dont la Marine nationale va acquérir trois exemplaires pour remplacer ses E-2C actuellement en service. De retour d’un déploiement au Moyen-Orient, l’USS Harry S. Truman, qui a fait escale la semaine dernière à Marseille, est entré en Atlantique le 29 juin. Son groupe aéronaval s’est enrichi de la frégate de défense aérienne allemande Hessen (type Sachsen), qui venait de Barcelone et a traversé Gibraltar avec les Américains. L’USS Harry S. Truman fait partie de la 6ème flotte de l’US Navy.

Sur certaines 77W, il y a une mini-cabine à trois rangées de cabines, ce qui crée un environnement intime. Si vous êtes sur l’ A380 ex-DXB, un siège de fenêtre offrira plus d’espace qu’un siège central. Le Boeing 777 est l’avion de ligne grand public le plus utilisé au monde. À une vitesse de croisière moyenne de 840 km/h, c’est suffisant pour un total de plus de 19,6 milliards de milles parcourus. Assez pour faire plus de 13 allers-retours de la Terre à Saturne. Le 777 300er a été le premier avion commercial entièrement conçu par ordinateur. Combien de travail a été consacré à la conception du Boeing 777? Beaucoup – 1.847 trillions d’octets de données pour être exact. Vous êtes-vous déjà demandé où l’équipage allait dormir? Pendant le décollage, les moteurs du 777 poussent 3,8 millions de mètre cubes d’air par minute. C’est assez d’air pour permettre à un humain de respirer pendant 44 jours! Chaque 777 est plus grand en diamètre que la cabine d’un Boeing 737 300er – de plus d’un demi-pied. Le nouveau 777-300ER coûte plus de 320 millions de dollars. En avril 2014, avec des ventes cumulatives supérieures à celles des 747, le Boeing 777 300er devint l’avion de ligne gros-porteur le plus vendu. Selon les cadences de production actuelles, l’avion est en bonne voie de devenir l’avion de ligne gros-porteur le plus livré d’ici la mi-2016.

Cela ne cause pas de problème en vol de croisière, mais un peu plus dans les phases de décollage et d’atterrissage. C’est ce qui explique pourquoi les pilotes doivent abaisser le nez du Concorde pour ces phases. L’appareil est séparé en deux cabines, 40 passagers pour la cabine avant et 60 passagers pour la cabine arrière, les toilettes, les vestiaires et les portes centrales servant de séparation entre les deux cabines. Les sièges sont installés par rangées de quatre, séparés en deux par une travée centrale. À l’entrée de la cabine avant, un office avec four est installé pour le service. La conservation des aliments est faite avec de la carboglace. Le même type d’équipement est installé en cabine arrière. Il n’y a ni vidéo ni projection de film pendant les vols, mais un choix de musiques est disponible à chaque siège. Trois toilettes sont installées, une à l’avant pour les passagers cabine avant et l’équipage et deux entre les deux cabines. Chaque siège dispose d’un porte-bagages en partie supérieure et des vestiaires à porte-manteaux sont installés en extrémité de chaque cabine.

Sur l’image ci-contre à droite, que voyez-vous ? Un État américain particulièrement étrange ? Bien difficile à dire. Le DCNN, lui, a immédiatement reconnu un avion de guerre parmi le millier de réponses possibles. Si si, c’est bien un avion de guerre dont les différents morceaux ont été recollés n’importe comment. La machine l’a « vu » facilement car elle a identifié les parties, comme les ailes et le nez, qui ressemblent à ce qu’elle sait d’un avion de guerre. Au total, l’étude porte sur cinq expériences (avec des images mélangées, des simples contours, des objets en verre, etc.) et le résultat est toujours identique : l’humain voit le contexte là où la machine voit le détail. « Les réseaux neuronaux ont des capacités impressionnantes pour reconnaître des objets, mais ne le font pas comme les humains, commentent les chercheurs. Les DCNN prennent en compte des segments partiels, mais il leur manque la sensibilité de comment ces segments sont connectés pour former un tout. » Ce n’est pas tout de suite que l’intelligence artificielle va nous battre au Pictionary.

Embraer EMB-110 Bandeirante, appelé simplement Bandeirante. Initialement, la plus grande partie du personnel était formé par l’institut technologique d’aéronautique (ITA) du centre technique aérospatial (CTA). D’une certaine manière, Embraer est née du CTA. En 1980, il y eut une fusion (En physique et en métallurgie, la fusion est le passage d’un corps de l’état solide vers l’état liquide. Neiva qui devint alors une société filiale. Durant les années 70 et 80, Embraer a obtenu d’importantes commandes nationales et internationales avec les avions Bandeirante, Xingu et Brasília. « science de la nature ». 20 000 travailleurs, douze mille directs et huit mille indirects. Dans le domaine militaire, AMX est le nom :), considéré comme un saut technologique pour l’élaboration de nouveaux projets. En 1986, Ozires Silva laisse la présidence de l’entreprise pour assurer celle de Petrobrás. Embraer rachète en 1987 Aerotec. 1988 voit le début du développement d’un avion binational, dont le projet et la construction sera fait à la fois par Embraer et par la Lockheed Martin (Lockheed Martin est une des principales entreprises américaines de défense et de sécurité. Devant ses lignes extrêmement innovantes, les experts aéronautiques, perplexes, imaginent qu’il s’agit de maquettes, voire d’images truquées destinées à entraîner les avionneurs occidentaux sur de fausses pistes. Puis, avec la diffusion de photos prises sous tous les angles possibles (lors de tests de roulage à basse et grande vitesses et d’accélération-arrêt sur la piste avec extraction du parachute de freinage), les caractéristiques de l’appareil se précisent. Faute d’informations officielles, il faut jouer au jeu des sept erreurs pour analyser les clichés et en déduire des caractéristiques techniques, et d’éventuelles filiations avec des appareils occidentaux. Sur les vidéos, à l’issue d’un cérémonial de pré-vol, l’avion d’accompagnement, un biplace Chengdu J-10S, se met en place, suivi de près par le mystérieux J-20 n° 2001 équipé de réacteurs WS-10. Après un ultime test de roulage, le gros biréacteur s’aligne et décolle à 12 h 50 précises, avant de se fondre dans la brume de pollution jaunâtre qui recouvre la province. Pour les experts, c’est clair : le chasseur présenté n’est pas un ersatz d’avion russe assaisonné à la sauce chinoise, comme par le passé (lire encadré ci-dessous).

En janvier 1996, Lockheed Martin fit une nouvelle acquisition majeure, celle des activités électroniques de Loral Corporation (en), New York, pour 9,1 milliards de dollars. À ce moment-là, Lockheed Martin se trouvait être le leader mondial dans le secteur de la défense devant McDonnell Douglas, avec un chiffre d’affaires 1995 de 14,4 milliards de dollars. Lockheed Martin, associé avec BAe System se sont proposés pour réaliser les remplaçants des véhicules actuels de l’US Army, notamment les Humvees. Northrop Grumman – Oshkosh Corporation, General Dynamics – AM General et Lockheed Martin – BAe Systems ont gagné le projet et signé un contrat avec l’US Army (voir JLTV Project). Lockheed Martin est maître d’œuvre du vaisseau Orion pour la NASA. Lockheed Martin a racheté en 2009 le célèbre simulateur aéronautique Flight Simulator de Microsoft, et l’a renommé Prepar3D, prononcé « Prepared » et souvent abrégé en « P3D ». ] (consulté le 25 août 2015), p. ↑ Philippe Passebon, « Mini réacteur à fusion nucléaire : le projet de Lockheed Martin est-il sérieux ? ↑ Azar Khalatbari, « Le réacteur de fusion annoncé par Lockheed Martin : faut-il y croire ? ↑ (en) « Does Lockheed Martin Really Have a Breakthrough Fusion Machine?

L’avion transportait au total 189 personnes selon le Comité de sécurité des transports nationaux (NTSC): 178 passagers adultes, un enfant, deux bébés ainsi que deux pilotes et six personnels de cabine. Le site de suivi des vols Flightradar montre sur une carte la trajectoire de l’appareil qui après son décollage sur un cap sud-ouest vire largement par le sud sur 180 degrés avant de mettre le cap au nord-est. Mais le tracé s’interrompt soudainement au-dessus de la mer de Java, non loin de la côte. Il n’y avait pas d’information dans l’immédiat sur la présence d’étrangers à bord de l’avion, un nouvel appareil qui était entré en service en août, selon Lion Air. Le transporteur aérien a précisé que le pilote et le copilote avaient plus de 11.000 heures de vol à eux deux. Boeing, qui a livré l’appareil, s’est déclaré « profondément peiné », dans un communiqué, après l’annonce de cet accident et a fait part de « toute sa sollicitude pour ceux qui sont à bord », ainsi que pour leurs familles et leur proches. L’Indonésie, un archipel d’Asie du Sud-Est de 17.000 îles et îlots, est très dépendante des liaisons aériennes et les accidents sont fréquents. En décembre 2016, 13 personnes avaient péri dans l’accident d’un avion militaire près de Timika, une région montagneuse de Papouasie. En août 2015, c’est un ATR 42-300 de la compagnie indonésienne Trigana Air transportant 44 passagers adultes, cinq enfants et cinq membres d’équipage qui s’était écrasé dans les montagnes Bintang. Aucun survivant n’avait été retrouvé. La compagnie à bas coût Lion Air est une filiale de Lion Group qui possède quatre autres compagnies (Wings Air et Batik Air en Indonésie, Malindo Air en Malaisie et Thai Lion Air en Thaïlande). Elle a elle-même été impliquée dans plusieurs incidents. En 2004, la sortie de piste d’un appareil de Lion Air à Solo (centre de Java) avait fait 26 morts. Lion Air a annoncé cette année une commande de 50 Boeing 737 Max 10 pour 6,24 milliards de dollars alors que le transport aérien est en pleine expansion en Indonésie.