Le Sukhoi SU-29MM de Parkzone est le fruit de l’association d’une structure légère avec une puissante motorisation brushless. Pour voler : Il faut ajouter une batterie, un chargeur et une radiocommande Spektrum programmable (Dx6 ou plus). La technologie SAFE permet au Sukhoi SU-29MM de « connaître » son inclinaison par rapport au sol. Cette capacité a été utilisée pour créer 4 modes de vol qui permettent aux pilotes de découvrir la voltige en toute confiance en limitant les risques. L’avion peut effectuer n’importe quelle figure de voltige classique ou 3D, mais se stabilise automatiquement si les 2 manches sont relâchés. Ce mode est l’équilibre parfait entre une manœuvrabilité extrême et une stabilité élevée, idéal pour l’entrainement aux figures 3D à basse vitesse comme le stationnaire et le Harrier. Idéal pour effectuer de la voltige de précision à vitesse élevée, ce mode gomme les effets de turbulence, l’avion est comme sur des rails. Remise à plat immédiate de l’avion en appuyant sur un bouton. Peut être activé à tout moment dans n’importe quel mode de vol. Déjà plus de 100 millions d’euros investis. Dassault avait négocié pendant plusieurs années avec la société indienne HAL dans le cadre d’un appel d’offres pour 126 avions de chasse, majoritairement assemblés en Inde, mais les tractations n’avaient pas abouti. Peu après l’arrivée au pouvoir du nationaliste hindou Narendra Modi, New Delhi avait annulé cette procédure et préféré acquérir directement 36 Rafale fabriqués en France pour un montant estimé à 9,4 milliards de dollars. Selon les termes du nouveau contrat, l’avionneur français s’est associé avec un partenaire indien, Reliance Group, dirigé par le magnat Anil Ambani. Cette société n’avait pourtant aucune expérience préalable dans l’aéronautique. Dassault a déjà investi plus de 100 millions d’euros dans sa co-entreprise avec Reliance à la suite du nouvel accord. Vers une nouvelle requête. La décision de vendredi est considérée comme une victoire pour le gouvernement nationaliste hindou de Narendra Modi, qui a subi une débâcle lors d’élections dans plusieurs Etats plus tôt cette semaine. Ses détracteurs ont en revanche dénoncé « une mauvaise décision ». Prashant Bhushan, devant la Cour, envisageant de déposer une nouvelle requête. Un contrat décrié aussi en France. Le contrat est aussi décrié par certains en France. L’ONG Sherpa a ainsi porté plainte en novembre pour dénoncer les conditions de vente de ces Rafale, en particulier celles qui ont entouré le choix de Reliance. Le site d’informations Mediapart a dénoncé le financement partiel par Reliance, au moment de la finalisation de la vente, d’un film co-produit par Julie Gayet, compagne du président de l’époque, François Hollande. Ce dernier s’est défendu de tout conflit d’intérêts, affirmant que la France n’avait « pas eu le choix » du partenaire indien de Dassault.

L’accord entre Embraer et Boeing évolue. La valeur de la division aviation civile du groupe brésilien a été revue en hausse de 11% pour atteindre 5,26 milliards de dollars. Un obstacle a été levé pour le projet de rapprochement entre le groupe aéronautique brésilien Embraer et le géant américain Boeing. Les négociations entre les deux entreprises avaient été suspendues à cause d’une ordonnance déposée par des parlementaires brésiliens. ] Mais pourquoi cet avion « requin » a atterri à l’aéroport de Lhassa, au Tibet ? Vidéo Un avion décoré façon « nez de requin » s’est posé début novembre sur la piste de Lhassa, l’un des aéroports les plus hauts du monde. Mais pourquoi cette étrange mise en scène ? C’est une manière plutôt originale de faire sa promo. Au salon aéronautique de Farnborough, Boeing et Embraer défendent leur projet de partenariat dans l’aéronautique civile, se disant confiants dans l’obtention de l’aval des autorités réglementaires et de leurs actionnaires. L’avionneur brésilien Embraer a sélectionné Hispano-Suiza (groupe Safran) pour fournir le système de distribution électrique ainsi que l’intégration complète du système électrique avion pour son futur avion de transport militaire, le KC-390. L’intégration du système électrique complet de l’avion (génération, conversion, distribution primaire et secondaire, système de génération électrique de secours). « Ce nouveau contrat avec Hispano-Suiza renforce la bonne relation entre nos deux sociétés. Le KC-390 est un avion de transport bi-réacteur de moyenne capacité qui peut être ravitaillé en vol, et utilisé comme avion ravitailleur en vol ou au sol. Safran est un groupe international de haute technologie, équipementier de premier rang dans les domaines Aérospatial (propulsion, équipements), Défense et Sécurité. Pour répondre à l’évolution des marchés, le Groupe s’engage dans des programmes de recherche et développement qui ont représenté en 2010 un investissement de 1,2 milliard d’euros. Spécialiste de l’extraction de la puissance, de la gestion de l’énergie électrique et de sa conversion, Hispano-Suiza (groupe Safran) est un acteur majeur de la chaîne de l’énergie à bord de l’avion. Leader mondial dans le domaine des transmissions de puissance, Hispano-Suiza équipe près de 60 % des avions de plus de 100 places. Embraer S.A. (NYSE : ERJ ; BM&FBOVESPA : EMBR3) est le premier constructeur mondial de jets commerciaux jusqu’à 120 places et l’un des premiers exportateurs du Brésil. L’entreprise a son siège social à São José dos Campos, São Paulo et des usines et bureaux de service client au Brésil, en Chine, France, Portugal, Singapour et aux Etats-Unis. Créée en 1969, la société conçoit, développe et construit des avions et des systèmes aéronautiques pour l’aviation civile, l’aviation d’affaires et les secteurs de la défense et de la sécurité. Elle fournit aussi un support après-vente et des services à ses clients du monde entier. Au 30 septembre 2011, Embraer compte 17 204 collaborateurs (sans compter ceux des filiales non détenues à 100%) et son carnet de commandes fermes se monte à 16 milliards de dollars.

Une enveloppe de 150 millions d’euros avait été évoquée. Le projet n’a jamais abouti. « Il y a une interdiction formelle des Etats-Unis de vendre ce type de missiles à des pays du Moyen-Orient. C’est lié à une règle américaine qui empêche de vendre des armes pouvant mettre à mal la supériorité militaire d’Israël », commente Andrew Miller, ancien conseiller militaire du président Obama. « Les Etats-Unis sont par ailleurs très frustrés de voir que les Egyptiens ne se paient pas plus de matériel militaire américain. Manque de chance, ces missiles ont des composants Itar. Bis repetita : les Etats-Unis ont une raison géopolitique et un levier juridique pour s’y opposer. Alors que l’émirat qatarien a commandé 12 nouveaux Rafale en décembre 2017, les Etats-Unis auraient annoncé au début de l’été à leurs partenaires français qu’ils devront chercher de quoi remplacer les composants américains du Meteor. Il va falloir trouver une solution, et vite : c’est justement parce que les Etats-Unis n’auraient jamais accepté de fournir ce type de missile au Qatar que l’émirat s’est tourné vers la France. Pour l’instant, Dassault n’a pas été visé directement. Mais le coup de fouet américain n’est pas passé loin.

Jusqu’en 1982, les destinations pour Air France étaient : Rio de Janeiro, Caracas, Dakar, Mexico, Washington, Dallas et New York. À partir de 1983, pour rentabiliser au maximum son supersonique, la compagnie réduisit ses vols à la seule destination de New York, assurant cependant en plus des vols spéciaux appelés charters et des tours du monde. Le temps de vol moyen sur l’un ou l’autre des itinéraires était d’environ trois heures et demie. Jusqu’en 2003, Air France et British Airways ont continué à avoir des liaisons quotidiennes avec New York. En plus, Concorde a volé vers la Barbade pendant la saison de vacances d’hiver et, de temps en temps, aux destinations de Rovaniemi en Finlande. Le 1er novembre 1986, un Concorde a effectué le tour du monde en 31 h 51 min. Pendant une période brève en 1977, puis de 1979 à 1980, British Airways et Singapore Airlines partagèrent un Concorde pour les vols entre Bahreïn et l’aéroport international de Changi. Origine : L’utilisation de ces avions se répand durant la Seconde Guerre mondiale. Ils sont alors employés pour lutter contre les sous-marins. Avion nolisé Sens : Avion affrété pour transporter des passagers selon la demande. Origine : On parle de vols nolisés, donc loués, car ils sont organisés en dehors des vols réguliers. Ce sont surtout les agences de voyages qui procèdent à ces locations. 31 octobre 1956 Le premier avion attérit au pôle sud Le « Que sera, sera » un LC-47 piloté par l’Amiral George J.Dufek est la premier avion à se poser sur le pôle nord. Dufek devient le premier américain à fouler le sol de l’Antarctique. 1er mai 1960 Un avion américain est abattu au dessus de l’URSS Les Soviétiques abattent un avion-espion américain U-2 qui survolait l’Oural à 19 000 mètres d’altitude. 9 octobre 1930 Laura Ingalls traverse l’Amérique en avion L’Américaine Laura Ingalls est la première femme à traverser les Etats-Unis en avion d’Est en Ouest. Elle rallie New York a Los Angeles en 30 heures. 2 mai 1952 Premier avion de ligne à réaction L’avion à réaction « Comet 1 » de la firme britannique De Havilland, effectue un vol inaugural entre Londres et Johannesburg (Afrique du Sud). 28 novembre 1947 Mort du général Leclerc dans un accident d’avion Le général Leclerc meurt dans un accident d’avion lors d’une inspection en Algérie. 93 000 tonnes est surnommé le « Big E » par ses matelots. Il est le premier porte-avions à énergie nucléaire. 12 septembre 1970 Spectaculaires détournements d’avions Des pirates de l’air palestiniens du FPLP font sauter sur l’aéroport de Zarka en Jordanie trois avions de ligne détournés après en avoir libéré les passagers. Elf et l’Etat français : l’affaire des avions renifleurs. Mach 1,06. Mais son record n’a pas été homologué du fait que son avion n’a pas décollé par ses propres moyens.

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Le Tupolev Tu-144 (en russe : Tyполев Ту-144, nom de code OTAN : « Charger ») est un avion de ligne supersonique quadriréacteur développé en URSS par le bureau d’études Tupolev. Avec le Concorde franco-britannique, ils sont les seuls avions civils supersoniques à avoir atteint la production. Le Tupolev Tu-144 est construit en trois versions, Tu-144, Tu-144S et Tu-144D. La première sert uniquement de prototype et un seul appareil est construit. La production prend fin en 1985 avec un total de 16 appareils construits, soit un prototype, dix Tu-144S et cinq Tu-144D. La conception du Tu-144 est due, au moins partiellement, à l’espionnage industriel au profit du GRU, les usines françaises de Sud-Aviation (Aérospatiale) ayant particulièrement été mises à contribution. Des informations d’archives, maintenant ouvertes au public, indiquent que la boîte noire fut ramenée en URSS et analysée. ]. En conséquence, le vol Aeroflot du 1er juin 1978 fut le cinquante-cinquième et dernier vol régulier. Dans les années 1980, les deux derniers modèles de production en état de vol ont été utilisés pour des essais, notamment pour la recherche sur la couche d’ozone à haute altitude. L’inconvénient est qu’un aéronef instable ne peut être maintenu dans une attitude stable qu’en appliquant des consignes rapides et précises sur les commandes de vol. Cela ne peut être accompli avec un contrôle manuel direct et par un pilote seul. ]) permettant une parfaite manœuvrabilité. Le Rafale est doté d’une aile delta à flèche modérée (48° contre 58° pour le Mirage 2000 et 53° pour Eurofighter) et grand allongement, d’où une grande finesse d’aile. Pour le contrôle du vol, huit commandes sont installés sur les ailes. Sur le bord de fuite des deux ailes sont placés deux grands élevons, conjuguant l’action d’une gouverne de tangage (volet de profondeur) à celle de roulis. Sur le bord d’attaque sont également installées deux becs amovibles, qui permettent essentiellement d’augmenter la portance. Comparé au Rafale A, qui disposait de trois élevons et trois becs sur chaque aile, cette configuration simplifiée permet de gagner en poids et en simplicité, donc en coût et en maintenance. Contrairement aux traditions de l’aviation navale française qui met alors en service des aéronefs aux extrémités d’aile repliables, celles du Rafale, toutes versions confondues, demeurent fixes.

↑ Eureka Aviation : Wegg 2005, p. ↑ Les vols passagers avec Gabon Express : Wegg 2005, p. ↑ a et b Caractéristiques techniques de la Caravelle : Wegg 2005, p. ↑ Atterrissage automatique sans visibilité : Wegg 2005, p. ↑ Liste des opérateurs civils : Wegg 2005, p. ↑ Début des services commerciaux en Caravelle de chaque compagnie : Wegg 2005, p. ↑ L’armée de l’air algérienne : Wegg 2005, p. ↑ Fuerza Aérea Argentina : Wegg 2005, p. ↑ a b c d e et f Caravelle militaires en Afrique : Wegg 2005, p. ↑ La Fuerza Aérea Mexicana : Wegg 2005, p. ↑ Les TP85 de la Svenska Flygvapnet : Wegg 2005, p. ↑ Liste de production de la Caravelle : Wegg 2005, p. ↑ Transport de Josip Broz Tito : Wegg 2005, p. John Wegg, Caravelle : La Française de la jet set, Avia-Éditions, 2005, 576 p. Pierre Gaillard, Caravelle : Les ailes du renouveau, ETAI, 2005, 350 p. Pascale Monmarson-Frémont & Véronique Peyraud, Caravelle : Bienvenue à bord d’une légende ! ETAI, 2006, 160 p. J.-B. Lenoir, « Caravelle », Airliner in Service, no 4, ?

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En 2002, le trafic mondial (ex-URSS et Chine incluses) sera de 1 615 millions de passagers. Les avions russes et ukrainiens n’ont été vendus qu’en URSS et dans sa zone d’influence. Le monde de l’aéronautique après la Seconde Guerre Mondiale se scinde donc entre les constructeurs soviétiques et les constructeurs occidentaux. La Chine ne possède pas alors d’industrie aéronautique, et à la suite des restrictions nées de la Seconde Guerre mondiale, l’industrie aéronautique japonaise ne développe pas de programmes d’avion de ligne propres. L’industrie aéronautique soviétique doit respecter à des règles et des conditions trop différentes de celles de l’Occident pour que les avions de lignes soient directement concurrents. Les avions de ligne soviétiques doivent pouvoir opérer à partir d’aérodromes mal équipés (approvisionnement en carburant, pistes, infrastructures souvent sommaires) et dans des conditions climatiques particulièrement difficiles. Ces avions doivent être plus robustes donc plus lourds, plus puissants donc plus motorisés, que les appareils occidentaux. Quand on s’apprête à passer 12 heures dans une boîte de conserve géante en forme de suppositoire, on a toutes les raisons de ressentir une appréhension. Pression de l’air, sécheresse, froid, enfer. Pour arrondir les angles, le mieux est encore de ne pas se planter de siège. C’est toujours une consolation. La plupart des études sont formelles : les passagers en queue d’avion ont 40% de chances de plus de survivre à un crash que ceux situés tout devant. Après, c’est 40% d’environ 0% de chances de survie, hein, mais 40% quand même. Sauf coup de bol de double évacuation, la sortie de l’avion se fera toujours devant à gauche. Du coup, pour ne pas faire la queue trois heures à la sortie de l’avion, le mieux est encore de s’asseoir bien devant et à gauche pour pouvoir s’extraire de la carlingue du coucou en deux deux après l’atterrissage. La place près du hublot permet de reposer sa tête et d’éviter que quelqu’un ne vous réveille pour aller pisser. Sans compter que vous pourrez décider ou non de fermer la fenêtre. En revanche, côté couloir, ce n’est pas la même limonade.

Ensuite le F35 permet à des petits pays de « s’acheter » une protection américaine, Aviation information de participer à des opérations aériennes en bénéficiant de l’appui américain et de se valoriser ainsi sur la scène diplomatique. Le F35 est un outil de rayonnement et le prix à payer pour participer à la résolution des crises. Le F35 peut délivrer de l’armement nucléaire (missile B61américain) et permet donc à des pays comme la Belgique de maintenir cette capacité d’alerte sur le sol européen dans le cadre de l’OTAN. C’est un atout indéniable et la possibilité offerte de participer à la dissuasion nucléaire. Le cahier des charges belge n’en fait pas mention mais c’est un critère déterminant pour les autorités belges. L’ambition politique prime sur le besoin militaire réel. Elle est avant tout pragmatique et s’appuie sur plusieurs arguments. Tout d’abord, le Rafale est un avion « combat proven » qui a fait ses preuves en opération dans ses deux versions (navale et aérienne).

L’exploitation des « Star » se passa sans problème majeur, si ce n’est la perte du F-BHBM « de Grasse ». Celui-ci rentrait du courrier « Afrique-Noire » le 10 mai 1961, quand en vol de croisière près d’Edjelé (Sahara algérien), il fut détruit pour une cause indéterminée. Des « bruits de couloirs » circulèrent au N2 à ce moment donnant comme cause de sa chute, une erreur de la chasse française qui croyait avoir à faire à un parachutage d’armes aux rebelles algériens. Le F-BHBK fut loué à Air Afrique du premier novembre 1961 au 15 mai 1963 avec l’immatriculation TU-TBB. À la fin ne restait sur le terrain d’Orly, que la carcasse du F-BHBK qui servait à l’entrainement du service incendie des Aéroports de Paris. Fin 1985, début 1986, l’épave de l’appareil disparut complétement pour être remplacé par un fuselage de Caravelle. Le « Star » a bien été la star des avions à hélices, fin, élégant, racé, silencieux, d’un luxe jamais égalé dans des vols réguliers. Les Lockheed furent en service de 1946 à 1962 pour les L.749, de 1953 à 1967 pour les L.1049 et de 1957 à 1961 pour les L.1649. Air France reconvertit en 1960 ses L.1049G en avion cargo suite à l’achat de Boeing 707-120. Certains Super Constellation étaient encore en service à la fin des années 70, notamment en Amérique Latine.

► Pourquoi l’avion a-t-il été saisi ? ► À quoi correspondaient les sommes dues ? « En 2008, Ryanair et le Smac (1) ont signé un contrat visant à établir trois rotations par semaine entre Angoulême et Londres, explique Didier Villat, président du syndicat mixte. « Cette ligne était importante pour la Charente qui est le quatrième département en nombre de résidents britanniques », ajoute Didier Villat. Le Smac aurait renoncé à organiser une ligne régulière, préférant tenter de faire venir des entreprises aéronautiques sur l’infrastructure. Selon le responsable, Ryanair aurait exigé une rallonge des aides lors de la troisième année. Les choses ont traîné en longueur, juridiction après juridiction. « Lorsque je suis arrivé à la présidence du Smac, j’ai voulu que les choses accélèrent », dit Didier Villat. En 2016, Ryanair a fini par payer la moitié de la somme due, mais elle a refusé de payer les 525 000 € restants en invoquant l’argument d’une « rupture de contrat ». Ce deuxième contentieux faisait l’objet d’une action parallèle en justice entre les deux parties, selon Didier Villat. La dernière lettre de mise en demeure avait été envoyée à la compagnie le 28 mai, a précisé la Direction générale de l’aviation civile. Restée sans réponse, une demande de saisie a alors été déposée auprès du tribunal de Bordeaux. « L’État réaffirme par cet acte sa volonté de garantir les conditions d’une concurrence loyale entre les compagnies aériennes et entre les aéroports », a indiqué la DGAC. ► Cette procédure est-elle exceptionnelle ? « À ma connaissance, ce type de saisie ne s’est jamais fait », a indiqué Didier Villat. Pour autant, en 2016, l’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (Acnusa) avait déjà fait immobiliser des avions à Paris-Charles de Gaulle, pour non-paiement d’amendes pour des infractions aux restrictions sonores. Il s’agissait d’un appareil de la compagnie Turkmenistan Airlines et, en août, d’un avion de la compagnie polonaise Enter Air.

Mais c’est notre ministre Le Drian qui, en février 2015, avait remporté le marché avec la vente de 24 Rafale et d’une frégate multimission FREMM. Alors, acte de vengeance sous couvert de guerre économique ou simple respect des règlements américains ? Il est un fait que cette norme ITAR est un des piliers de la puissance américaine dans les ventes d’armes car elle est tout à fait légale. Comme l’écrit Hervé Guyader, « cette norme n’est en rien utilisée ici pour prévenir ou sanctionner une quelconque fraude, mais pour protéger un intérêt américain. Le caractère légal de l’opération est parfaitement respecté. » Et notre spécialiste de souligner que « le juge ne sera jamais saisi, aucune incrimination pénale ne sera jamais utilisée ». Reste la possibilité, à Dassault, de lancer la fabrication de cette puce présente dans les missiles de croisière SCALP, mais cela repoussera d’autant la livraison de cet avion au Caire. L’autre solution serait de séduire Donald Trump. Dans plusieurs autres pays, des sources officielles ou parfois des rumeurs, ont fait état de marques d’intérêt et de discussions avec Dassault Aviation. Dans le cas de l’Arabie saoudite et du Royaume-Uni, ces marques d’intérêt n’ont jamais été suivies de pourparlers sérieux et visaient seulement à faire pression sur leurs fournisseurs habituels, BAE Systems et Lockheed Martin respectivement. En 2010, la Grèce, qui s’intéressait aussi à l’Eurofighter Typhoon, faisait partie des acquéreurs potentiels. L’Arabie saoudite avait déjà, en août 2006, commandé 72 Eurofighter Typhoon. ] par l’éventuelle acquisition de 18 à 22 appareils. Les avions destinés aux forces françaises ont été commandés par plusieurs tranches. Au 15 janvier 2015, 141 exemplaires de Rafale ont été livrés aux forces armées françaises sur les 180 commandés fermement par les gouvernements français. ]) et 28 sur la LPM suivante. 4 Rafale M perdus – 48 Rafale M tranche 1-4), ce qui porterait la commande de la tranche 5 à 50 Rafale.

Faites votre baptême en avion de chasse ! Cette expérience extraordinaire n’est plus réservée à la seule élite des pilotes de chasse. Aujourd’hui, nous vous proposons de monter dans le cockpit d’un véritable avion de chasse et d’effectuer votre baptême de l’air pendant 30mn, 45mn ou encore 60mn de vol à sensations. Tematis est le leader européen du vol en avion de chasse. Nous vous proposons plusieurs expériences en fonction de points d’envols, en France ou à l’étranger, mais aussi en fonction de votre budget. Car si l’on peut considérer que le baptême en avion de chasse reste cher, l’expérience est extraordinaire et restera avec vous pour le reste de votre vie. Le MiG-29 vous permet d’atteindre la stratosphère, d’admirer le noir de l’espace et la courbe de la terre. Vous irez également plus vite que le son, et vous effectuerez un programme acrobatique qui vous fera ressentir toute la puissance de cet avion de chasse moderne. Une proposition que le ministre de la Défense, le flamand Steven Vandeput, a rapidement écartée. Didier Reynders a laissé entendre que l’offre française était hors course depuis plusieurs mois. La collaboration militaire entre la France et la Belgique est plombée par une affaire qui date des années 1990. Le scandale de corruption Agusta-Dassault avait fait chuter plusieurs ministres belges à l’époque. Le dossier plane encore sur le pays, lorsqu’il est question de gros achats militaires. Les nationalistes flamands du N-VA, justement, ont pesé de tout leur poids dans le choix américain. Plutôt Atlantiste qu’Européen, le parti le mieux représenté à la Chambre des représentants belge imprime sa marque pour le long terme avec ce choix. La maintenance et le modus opérandi dépendent d’un contrôle des États-Unis, y compris en opérations, avec des logiciels opérés depuis là-bas. C’est une des raisons du refus de l’Allemagne de l’acquérir – tandis que l’Italie, la Norvège, le Danemark ou les Pays-Bas n’ont pas eu ces réserves. Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation Robert Schuman, un centre de réflexion européen. Reste que l’offre américaine était « la meilleure sur le plan du prix et sur le plan opérationnel », a expliqué le ministre belge des Affaires étrangères Didier Reynders, après la conférence de presse ayant officialisé la décision. Le F-35 qui seront livrés en 2023 « comportent 30% de composants européens et représentent des retombées assez fortes pour l’industrie belge », assure-t-il. Donc on en reparle quand le cadre institutionnel existera.

Dassault se défend en expliquant que cette vidéo a été prise avant que le nouvel accord ait été proposé et que cette phase était logique dans le cadre de l’ancien accord ou Hindustan Aeronotics apparaissait. Ce qui est plus probable, c’est que ce changement d’accord opportun ait permis à Dassaut d’avoir plus de coudées franches par rapport au projet, lui évitant ainsi d’avoir à faire un transfert de technologie trop important. Et c’est sans doute bien sur ce point que les commentaires des opposants au nouveau deal sont les plus pertinents. Dans son communiqué de presse du 21 septembre, Dassault indique néanmoins d’autres partenariats vont être signés avec d’autres entreprises comme BTSL, DEFSYS, Kinetic, Mahindra, Maini, et SAMTEL. Chaque contrat avec des puissances étrangères a fait l’objet des mêmes attaques pour un gouvernement comme pour l’autre, et un nombre substantiel de contrats n’ont pu voir le jour. La conséquence de ce jeu politique n’est pas neutre pour l’Inde. Le Cessna 172 Skyhawk est un avion quadriplace, monomoteur à aile haute. Il effectua son premier vol en 1955 et est toujours en production, plus de Cessna 172 ont été construits que tout autres avions. Le C 172 est l’avion par défaut dans FlightGear depuis 2000, il a remplacé le Navion. Il a eu un long développement et il inclut une grande variété de fonctionnalités pour FlightGear. En 2015, il a été complètement rénové ; cela comprend de nouvelles options de moteur, de taille de pneus ou de flotteurs, ainsi qu’une refonte complète du cockpit. Le nouveau C172p a un bien meilleur modèle 3D et est maintenant complètement texturé (y compris à l’intérieur). Tous les interrupteurs du cockpit sont cliquables. Il a aussi un meilleur FDM, des procédures plus complexes et des checklist réalistes, de nouveaux effets sonores et une modélisation des dégâts. L’avion peut être endommagé s’il n’est pas utilisé correctement (par example le train d’atterrissage se brise si l’atterrissage est trop brutal).

]. Des modifications importantes ont permis d’accroître la poussée et de diminuer la consommation en régime subsonique. La version définitive est la Mk IV. ] servent à réduire la vitesse de l’air entrant dans le réacteur. Une sortie des gaz à section variable augmente la vitesse de l’air sortant. Le dégivrage de la voilure et des entrées d’air moteurs est entièrement électrique soit en continu soit par cycle, limitant les tuyauteries d’air. Cette spécificité n’est pas reprise sur les avions actuels. La conception (difficile), la réalisation et la mise au point de l’entrée d’air du réacteur ont été prises en charge en partie par la Snecma. Cependant, il n’y a pas d’APU, ce qui impose la présence d’un groupe électrique et à air indépendant dans chaque escale. Un projet a été étudié mais abandonné (prototype APU au MAE, don de M. Chevalier). Le Boeing 727 est le premier avion civil à disposer d’APU intégré pour la mise en route des réacteurs. La pressurisation de la cabine est réalisée par quatre vannes (ouflow valves) commandées par un contrôleur de pressurisation. ] programme le système manuellement. Quatre indicateurs permettent la surveillance de la pressurisation. Il y a un variomètre cabine, un altimètre cabine, un indicateur d’écart de pression externe/interne (delta P) et un indicateur de position de vanne de régulation de pression de la cabine. Le Concorde dispose de 2 circuits de secours à oxygène. Le circuit pilotes comprend une bouteille oxygène gazeux qui alimente cinq masques à oxygène au poste de pilotage. Le circuit passagers est constitué de trois bouteilles installées en soute arrière qui alimentent les masques pour cent passagers et six personnels commerciaux. Des bouteilles portatives sont installées à bord afin de permettre aux personnels commerciaux de circuler en cabine avec un masque à oxygène si besoin. Comme les autres avions de la même époque (747, A300, DC-10), le Concorde est équipé de deux centrales aérodynamiques et d’un circuit de secours.

Très bon accueil, moniteur très pédagogique, très bon initattion pour un premier vol. Tout s’est bien passé, c’était exceptionnel, je recommande sans hésiter ! D’une manière excellente avec un instructeur aimable et pro. Bref un jeu sur simulateur pour répéter et un vol agréable avec décollage et atterrissage aux commandes .Très bonne découverte du vol en avion. Moniteur sympa, Explications de bon niveau. La multiplicité des paramètres à intégrer est bien ressentie et fait comprendre qu’on apprend pas à piloter en peu de séances. Conscience qu’on doit se limiter aux manœuvres les plus élémentaires sans acquisition de pratiques complémentaires. Une expérience inoubliable ! C’était un cadeau pour mes 40 ans ! Très bonne idée, j’ai vraiment kiffé ! Un bon instructeur ( sympa,cool mais professionnel ), un avion bien entretenu et une vidéo en sup. Ah si j’allais oublié, beaucoup d’émotions et en plus c’est moi qui pilotait sur la majeure partie du vol ! Pourquoi faire un vol en avion de chasse ? Si vous vous posez la question, c’est sans doute que cette expérience n’est pas faite pour vous. Un vol en avion de chasse, c’est un moment unique, extraordinaire, et inoubliable, qui apporte des sensations extrêmes impossibles à vivre dans d’autres conditions. Pour tout amateur de sensations fortes, c’est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie ! A qui s’adresse le vol en avion de chasse ? À toute personne en bonne santé souhaitant vivre une expérience extraordinaire, riche en sensations fortes ! Sur quels appareils fait-on des vols en avion de chasse ? Nous proposons des vols sur trois types d’appareil. L’Aérospatiale-Potez-Fouga CM170 Magister est un avion à réaction conçu en France au début des années 1950, et initialement destiné à l’entraînement des pilotes militaires. Reconnaissable à son empennage arrière en « V » (dit « papillon »), il a été fabriqué à un millier d’exemplaires et utilisé par une vingtaine de pays. De nombreux exemplaires sont toujours en service de nos jours.

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